S’écartant de moi de quelques millimètres… je vit un éclat pervers à travers ses yeux marrons. Mes mains partirent par automatisme vers le boxer de Virgile qui commençait à le gêner terriblement.
- Kristy !! Éteint moi cette foutu musique et viens prendre ton petit déjeuner !! Cria la voix de ma chère maman chérie. M’écartant alors précipitamment de Virgile, qui, ce dernier me regardait les yeux près a sortir de leurs orbites.
- Hé ! Tu vas pas t’en aller comme ça ?!

- Ma maman m’a dit de venir prendre mon petit déjeuner… je désobéis pas à ma maman moi, je suis un gentil petit garçon ! Dis-je alors en éteignant ma musique.
- Kristy, t’as seize ans, t’es plus un petit garçon ! La preuve regarde toi… me dit-il en me regardant de haut en bas. Chose qui ne me déplu pas particulièrement.

- Viens prendre ton petit déjeuner toi aussi !! Finissais-je en sortant de la chambre, dévalant les escalier pour courir vers la cuisine et sauter dans les bras de ma maman. BONJOUR MA PETITE MAMAN CHERIIIIIIIE !!!!
- Coucou mon bébé, alors tu as bien dormi ? Me demande t-elle en souriant tendrement.

Je vous ais pas dit, mais ma maman, c’est la femme la plus belle du monde, elle s’appelle Maïe Turchwell elle a 38 ans, et elle est super gentille et super tout quoi. Sans elle je sais pas ce que je pourrais devenir… il faut savoir que pour moi, mes parents sont ce que j’ai de plus précieux dans ce monde… je n’accepte pas qu’on les insultent, je les respecte et je les aime plus que tout au monde
- Ouais, je me suis bien amusé cette nuit ! J’ai trouvé un nouveau jouet !! Dit-il alors que Virgil venait de nous rejoindre dans la cuisine.

- Bonjour Madame Turchwell ! Vous étés rayonnante en ce beau matin ! Dit-il en souriant, arrivant vêtue d’un simple boxer comme moi. Il prit alors place à table et s’empara d’un croissant. De mes croissants !
- Bonjour…jeune homme en boxer. Sers toi donc, je t’en pris ! Sourit Maïe en regardant ce jeune intrus se goinfrer.
- Virgil, veuillez m’excuser de mon impolitesse. Dit-il en croquant dans son croissant avec appétit. Il faut dire que votre fils m’a épuisé cette nuit ! Rajouta le châtain en un sourire moqueur sur les lèvres.

Je me tournais vers Virgil et mit un de mes mains sur ma hanche, laissant l'autre pendre le long de mon corps en lui jetant un regard noir, n’aimant pas qu’il dise ce genre de chose à ma mère.
- Mais chute toi ! Ca va pas ta tête de dire ça à ma maman ?! Criais-je presque de ma voix haut perché alors qu’il esquissa un rire moqueur, je me retournais vers ma maman, affichant un grand sourire sur mon visage. Maman, tu peux me faire un chocolat sitoplé ? Demandais-je a ma petite maman en lui faisant ma mine toute mignonne en ramener mes mains contre mon menton, qui a tendance à la faire toujours craquer.

- Kristy tu peut pas te débrouiller tout seul un peu oui ? Dit une voix grave en entrant dans la cuisine, une voix suave et grave appartenant a l’homme de la maison,  c’est un dire Iwan Turchwell 38 ans également, mon super papa, que j’aime aussi plus que tout !
- PAPA PAPA PAPA !!! Hurlais-je hystérique tout content en joignant mes mains dans mon dos, attendant le bisou du matin qui ne tarda pas à venir, Iwan s’approcha de moi et déposa un léger baiser sur mon front et alla embrasser ma mère sur le bout des lèvres.

- Krsity tu te fais ton chocolats tout seul ! T’es assez grand… Rajout-il en se servant une tasse de café. Et t’iras t’habiller, et ton copain aussi, c’est pas une tenue correcte pour venir à table, combien de fois dois-je te le répéter ?
- Oui papa ! Dis-je en courant vers ma chambre, attrapant au passage le bras de Virgile pour qu’il le suive afin de s’habiller, ce dernier fut surprit et en laissa son croissant sur place dans un « Hé ! » de surprise.

- Rah ce gosse ! Soupira l’homme de la maison en s’appuyant contre le comptoir de la cuisine.
- Faudrait que tu lui parle… j’en ais marre de cette attitude qu’il a…

- Je lui parlerais… t’en fais pas… Souria-t-il en passant ses bras autour de la taille de la jeune femme afin de la blottir contre lui et de l’embrassant tendrement. Maïe et Iwan, c'etaient mis ensemble peu de temps apres leur rencontre... comme un coup de foudre, elle avait était touchée par l'etrange histoire du rouquin venant d'une autre planet du nom de Génésia. Ils se sont marié il y a maintenant 15 ans alors que Maïe venait d'accoucher de son petit garçon... cela avait encore resserer leurs liens et au jour d'aujourd'hui, ils sont plus amoureux que jamais.

 Alors que dans l’étage supérieur tout avait un peu basculé… Virgile venait de m’arracher mon boxer, et le sien avait vite rejoins le mien au sol… nus tout les deux sur mon lit, on pouvait très bien deviner ce qui aller ce passer… alors qu’il me chauffait en caressant mon torse imberbe et maigre, ses mains descendirent de plus en plus bas… nos langues se mélangeaient dans un baiser enflammé et plein de désires. Saisissant alors mon sexe d’une poigne ferme et délicate.

 Il me masturba dans un mouvement de poignet énergique, me cambrant légèrement et sentant mon corps s’enflammé comme une torche, je ne pus retenir mes gémissements de plaisir, mon souffle devenait de plus en plus irrégulier… mon corps se recouvrait petit a petit d'une fine couche sueur sous le plaisir intense que Virgile de donnait.  Des frissons me parcourait les bras, les jambes… sur tout mon corps. Cette sensation, je l’adorait, je l’affectionnais, je la cherchait et je la trouvait en couchant avec n’importe qui… même si, il me manquait quelque chose que je ne pourrait décrire.

C’est alors que la libération arriva… j’éjaculais en un râle puissant… mais j’en voulait encore plus… toujours plus ! Virgile se mit à califourchon sur mon torse laissant son sexe entré en contacte avec ma bouche, j’ouvris la bouche afin d’avaler sa verge qui grossissait au fur et mesure des sucions…
- Kristy !! Strauss est là !! Cria ma mére au rez de chaussé.

C’est alors que je poussais Virgile sans finir la fellation que je lui faisait.

- J’arrive mamannnnn !! Criais-je a mon tour alors que Virgil, encore en érection me regardait complètement incrédule.
- Tu te fous de ma gueule là ? Nan mais tu finis Kristy !! Grogna t-il, l’aire vraiment en colère.

- Nan, y’a mon meilleur ami, je peut pas rester et toi non plus ! Souriais-je comme un enfant. C’est alors qu’il se releva en trombe pour me plaquer contre le mur, me tenant à la gorge. Sur le coup je ne compris pas vraiment ce qu’il était en trin de ce passer quand je reçu un puissant coup de poing sur le visage. Je tombais au sol sous le choque… je voyais légèrement floue, et ma tête me tournait horriblement.

- Tu va comprendre qu’on joue pas avec moi enflure ! Crit-il en m’attrapant les cheveux à l’arrière de la tête, me les tirant sans ménagement. Il me mit à genoux, me forçant à avaler son sexe. Mais je ne voulais pas, ma maman m’avait appelé et je devais descendre. Je gardais la bouche fermer. Suce moi !!! Hurle t’il à mon intention alors que je n’obtempérer toujours pas.
- Ma maman m’a appelé… Dis-je d’une voix faible, plus très assuré.

- Je m’en branle de ta mère !
Alors que je ne bougeais pas, de peur qu’il me fasse encore du mal, il me jeta au sol, sur mon visage on pouvait tres bien lire la peur qui masquer le beau sourire que je faisait les minutes d’avant. C’est alors qu’il m’envoya un autre coup de poing au visage, se sentie mon nez craquer sur le coup, et un liquide chaud me coulait sur les lèvres. Ma tête frappa contre le mur et ce fut le trou noir.
- Merde ! Paniqua Virgil après que j’ai perdu connaissance. Il se rhabilla aussi vite que possible.

Ne laissant aucune affaire et descendit les escalier en colimaçon en 4/2 passant devant un jeune homme châtain aux yeux bleu, étant le meilleur ami d’enfance de Kristy. La mère de ce dernier héla le jeune homme qui ce pressait de sortir.
- Tu t’en vas déjà Virgile ?

Il se retourna, le visage toujours aussi paniqué.
- Heu… oui madame, je dois partir, merci pour le petit déjeuner ! Puis il sortit comme un dératé.
- Étrange ce garçon… puis elle se tourna vers les escaliers vides. Mais qu’est-ce qui fait Kristy ? Kristy !!! Seule le silence répondit à sa phrase. Un silence mort et inhabituel.

- Ce qui est étrange Maïe, c’est ce silence quand Kristy est dans la maison… normalement il aurait courut dans mes bras comme a son habitude… Dit-il en grimpant vers la mezzanine. Il vit ma chambre avec la porte grande ouverte. Il entra sans frapper.

- Hé Kristy ? Il tourna alors la tête alors dans toute la chambre. Il me vit allongé parterre, la tête contre ma commode.
Un vague de panique et de rage envers le jeune homme châtain qui avait osée me faire ça, le traversa. Il se précipita sur moi, légèrement conscient.
- Kristy ? Kristy tu m’entend ? Il me tapota les joues doucement, ce qui me remis un peu les idées en place. Kristy !!

- Mmh… mes yeux ce remplirent alors de larmes, comme un enfant perdu, j’avais atrocement mal à la tête et mon nez me faisait souffrir. J’avais besoin d’affection… qu’on me serre dans ses bras, j’étais perdu et complètement dévaster… je commençais à me recroqueviller sur moi-même, tremblant de tout mes membres.
- Shh…calme toi Kristy… je suis là… Dit il en me prenant dans ses bras doucement, me connaissant par cœur, sachant très bien de quoi j’avais besoin. MAÏE !!

Sont cris augmenta la douleur de mes tempes, j’étais complètement tétanisé dans les bras de Strauss, il me souleva ensuite pour me poser doucement sur mon lit.
J’ouvris les yeux doucement… je ne voyais que des courbes floues… ma respiration s’accéléra.
- Qu’est-ce qui ce passe ? Dit la voix douce de ma maman en entrant dans ma chambre. Mon bébé !! Je la sentir courir vers mon lit et me prendre dans ses bras.
- Ma… maman… Sanglotais-je en grimaçant.
Elle me redressa doucement assis et ce glissa derrière moi pour me soutenir contre elle. Elle posa ma tête  sur ses genoux et caressa ma joue doucement pour me calmer... ma respiration commenca à ralentir et mon coeur battait aussi de moins en moins vite.

- Ca va aller mon cheri… Dit-elle en me berçant doucement. Mon mal de crâne commença à disparaître. La seul douleur que je ressentais c’était celle de mon nez casser, ce que Strauss remarqua bien sur.
- Kristy… bouge pas d’accord ? Il posa sa main sur mon nez et d’un coup vif me le remis d’aplomb. Une douleur horrible me prit dans tout le visage, je ne pus retenir un cris qui sonnait plus comme un sanglot qu’autre chose.
- Shhh… c’est fini mon bébé… shh maman est là… murmura-t-elle doucement à mon oreille et me faisant des bisous sur la joue, des marques d’affection rassurante. Je fermais les yeux doucement me sentant un peu mieux serrer dans les bras de ma maman. Me sentant en sécurité et aimé. Je me sentis partir de plus en plus dans les bras de Morphée afin de m’endormir comme une masse dans un bon sommeil réparateur.

*  *  *

La matinée était passer… et je me retrouvais toujours dans ma chambre, plus particulièrement sous ma couette, coucouné et très confortablement installé… Je me souvint pas trop de ce qui c’était passer ce matin… mes souvenirs etaient un peu flou, et je pense que c’est pas plus mal…
J’ouvris alors les yeux pour voir Strauss assis sur ma chaise de bureau non loin de mon lit. Il me fixait avec sa tête de chien battue qu’il a quand il est inquiet pour moi….

Je me redressais alors en le regardant, sachant très bien ce qu’il attend de moi, des explications ou même des justifications. Quand je fut relevé, ma tête ce mit à battre la chamade, comme si mon cerveau voulait sortir par mes oreilles, une douleur intense et insupportable.
- Strauss ! Dis-je en agrémentant mes parole avec un beau et grand sourire. On va a la plage dis ??

Strauss changea d’expression, son teint inquiet vira au blasé total. Ce qui m’étonnais guère.
- Heu… oui si tu veux. Mais avant je veux des explications !
Vous voyez, j’avais raison. Je le connais sur le bout des doigts mon Strauss. Bon d’accord, c’étais évident qu’il allait me poser des questions….
- Je me souvient de rien. Répondis-je en haussant les épaules.

C’est alors que je sortit de sous ma couette afin de me rendre à ma commode pour prendre mon maillot de bain que j’enfilais tout de suite, ne remarquant pas la mine rougissante de Strauss qui détourna le regard sous ma nudité.
Strauss soupira, me connaissant, il laissa tomber son interrogatoire et lâcha d’une petite voix.

- Tu peux me prêter un maillot ? J’ai pas pensé à prendre le mien…
- Oui tien ! J’attrapais alors un autre maillot dans ma commode et le balança à la tête de mon Strauss. Ce dernier ce leva afin de ce rendre dans la salle de bain.
- Tu peux rester là… âpres tout je t’ais déjà vu tout nu quand on était petit…
- Mais on est plus des gosses Kristy… sur ce il sortit en me laissant dans la chambre.