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Cette histoire commence dans la grande ville de Tokyo, au Japon. Plus exactement le 7 Septembre 2011 et il est précisement 7h15... Et un jeune homme de 16 ans attend plaisiblement l'appelle de son géniteur qui lui dira gentiment que son petit dejeuné est servie et qu'il n'a plus qu'a poser ses delicates fesse sur une chaise. Je vois a quoi vous penser, ce papa est une vrais mére poule n'est-ce pas ? Et il est pareil avec ses deux autres filles, Poppy et Elena, des fausses jumelles qui ne se resemble pas du tout, que ce soit du physique ou du caractére.

Cela fait maintenant 3 mois que la famille Finman a mit les pied dans cette charmante ville qui ne change pas beaucoup de leurs ancien lieux d'habitation qui était New York.

Davon n'a pas dutout aprécier le changement... laissant derriére lui son encienne vie et ses meilleurs amis Kary et Payton.

 

 

Kary... Ah, ce nom sonne si doux à ses oreilles... Il vous dira qu'il n'en a rien a faire alors que pourtant, il aurait bien aimer rester que pour elle. Coup de foudre ? Non non loin de là. Un léger beguin oui mais rien de plus...

 

 

 

- Davon Bernard Finman venez prendre votre petit dejeuner s'il vous plait !

Davon esquissa une grimace a l'entente de son deuxiéme prénom... qu'est-ce qu'il en avait honte de ce prénom... il aimerait bien ce cacher dans un trou de souris

- J'arrive papa...  Il se leva alors, prenant son sac affin et sortit de sa chambre avec une energie qui en ferais palir un escargot.

 

 

Davon descendit les escalier menant dans le salon et ce rendit dans la cuisine ou une odeur qui lui rappeler sa vie au States plannait dans la cuisine.

- Mmh... Des Pancakes !

 

 

En arrivant la cuisine, Davon remarqua son pére en train de refaire une tournée de Pancakes. Le pére de Davon, Alec Finman 32 ans travaillait dans les affaires, Et il avait souvent des déplacements a l'autre bout du continents, s'absentant pendant quelques semaines voir même quelques mois... mais depuis la mort de sa femme, cela devenait de plus en plus compliqué...

- Tu sais, je suis un morfale mais faut pas exagérer.

- Je fais la patte pour tes soeurs... comme elles se lévent plus tard. Crétinus !

- Ha oui, c'est vrais qu'elle se lévent plus tard les loques ! Et t'as fait des pancakes quoi !

- Bah oui, comme d'habitudes !

- COOOOMME D'HAAAABIIITUUUUUUUDEUUHHH !!!

- Assis boulet, tu vas les réveiller !

 

 

Davon s'installa alors devant son assiette remplis de Pancakes noyé sous le sirop d'érable... attrapant sa fouchette et mangeant avec délice se repas digne des plus grand films Americain.

- Alors tu es pret pour ton premier jour de cours ?

 

 

 

 

- Oui je sais pas... moi fan de manga, moi savoir que Japonais est jolie... moi apprendre ! Ok ?

- Oui fils ! Moi t'aimer aussi !

Davon ne pu s'empecher de sourire sous la puissance des conneries que son pére et lui pouvaient sortir. Oubliant son stresse pendant de minimes secondes. Faire son entrer dans une nouvelle école n'est jamais facile surtout quand celle-ci ce trouve a des millier de kilomettre de l'ancienne.

 

- Bon aller mange mon petit Scarabet...

- Scarabet ? Tu t'es crus dans Stars Wars ?

- Alors déjà mon petit cheri... Si j'etais dans Stars Wars j'aurais dit Padawan... et Scarabet c'est pour le Karaté je crois...

- Ouais bah là, c'est toi le cas raté... 

- Ca c'étais tres dure a sortir hein ?

- Aussi dure que de sortir du jus de pomme d'un bouteille ! Dit-il en prenant son verre et en avalant le précieux liquide.

Alec se leva apres avoir finis son café pour attraper les clefs de la voiture, Davon lui venez de finir ses pancakes quand la voix grave et delicieuse de son pére retentit.

- Aller Davon on y va !!

Le blond se leva alors, alla poser son assiette dans l'evier et attrappa son sac avant de sortir de la maison, se dirrigeant avec la plus grande joie vers le garage.

 

- Aller Davon, on se dépéche un peu là...

- Mais oui, j'ai enclenché mon jet t'en fait pas !

Une fois a l'interieur de la voiture Alec se mit en route vers le lycée. Davon regardait le paysage et lacha un soupire. New York lui manquait et le dire comme cela est un euphemisme.